Pierre stonehenge

La pierre Stonehenge est un monolithe emblématique situé dans la région de Salisbury en Angleterre. Érigée il y a plus de 4000 ans, cette structure préhistorique continue d’intriguer les archéologues et les visiteurs du monde entier. Découvrez son histoire et ses mystères fascinants.

PIERRE STONEHENGE

Caractéristiques du stonehenge

  • Chakra: Couronne.
  • Propriétés: Apaisante, équilibrante, harmonisante.
  • Astrologie: /
  • Zodiaque: /
  • Éléments: /
  • Couleurs: Gris, bleu-gris.
  • Dureté: 6-6.5 sur l’échelle de Mohs.
  • Formule Chimique: Principalement du silicate d’aluminium, avec des traces de fer, de magnésium et de calcium.
  • Dieu associé: /

Pierre stonehenge - Son histoire

Stonehenge est un monument mégalithique composé de cercles concentriques, construit entre -2800 et -1100, pendant la période du Néolithique à l’âge du bronze. Il est situé dans le comté du Wiltshire, dans le sud-ouest de l’Angleterre, à proximité de Salisbury et d’Amesbury. En 1986, l’UNESCO a inscrit Stonehenge et le cromlech d’Avebury sur la liste du patrimoine mondial sous le titre “Stonehenge, Avebury et sites associés”. Chaque année, environ un million de personnes du monde entier visitent ce site culturel très populaire en raison de son aspect impressionnant et de sa charge mystique. Plus de 20 000 personnes ont assisté au solstice d’été de 2005.

L’étymologie du nom “Stonehenge” est incertaine. Certaines sources suggèrent qu’il vient du terme saxon “henge-cliff”, qui signifie “précipice”. D’autres sources mentionnent “stanenges” ou “stanheng” près de Salisbury. L’archéologue William Stukeley, qui a étudié le site pour la première fois en 1740, a indiqué que les rochers suspendus dans le Yorkshire étaient appelés “henges” en saxon. Selon l’archéologue Christopher Chippindale, l’origine du nom pourrait provenir des mots vieil anglais “stān” et “hencg” (charnière) ou “hen(c)en” (potence), car la forme des linteaux pourrait rappeler celle d’un gibet. Cependant, l’étymologie et la signification exactes du nom restent floues et font l’objet de débats parmi les linguistes spécialisés en langues germaniques.

Le site de Stonehenge a été étudié par plusieurs archéologues britanniques, notamment le professeur William Gowland et le colonel William Hawley, qui ont restauré et poursuivi l’étude du site au début du XXe siècle. L’archéologue Richard John Copland Atkinson a dirigé les dernières fouilles d’importance entre 1950 et 1964, et a établi une chronologie en trois phases, bien que des différences subsistent entre les chercheurs tels que Peter Newham, Gerald Hawkins, Alexander Thom, Michael W. Postins ou Didier Laroche.

Le site révèle des traces d’occupation antérieure à la construction du monument. En 1966, lors de travaux d’extension du parking, trois emplacements de poteaux de l’époque mésolithique ont été découverts. Ces poteaux mesurent 75 cm de diamètre et semblaient avoir été creusés pour y insérer des poteaux de 9 m de haut. Ils contenaient un morceau d’os brûlé et du charbon de bois. Le Cursus, une construction ovale datant d’environ -3500, s’étend sur une longueur de 3 km d’est en ouest, à environ 700 m au nord de Stonehenge.

La première construction sur le site de Stonehenge remonte à l’époque néolithique et se composait d’une enceinte circulaire marquée par une levée de terre et un petit fossé de 110 mètres de diamètre environ, avec une entrée principale orientée vers le nord-est et une plus petite au sud. Le fossé, fouillé par le colonel William Hawley dans les années 1920, comportait deux interruptions, une au nord-est, dans l’axe de l’entrée, et l’autre plus petite au sud. Des outils utilisés pour le creuser ont été découverts, ainsi que des tessons de poterie et des pièces de monnaie romaines, mais Richard John Copland Atkinson rappelle que le mélange des couches archéologiques peut résulter du foulement humain sur le site et de la pluie drainant les éléments.

Le talus a été construit avec les matériaux extraits du fossé, avec un souci de régularité géométrique grâce à l’utilisation d’un cordeau. Des vestiges d’un talus extérieur plus petit peuvent être observés à l’est et au nord. Le squelette d’un homme datant de l’âge du bronze, connu sous le nom d'”archer de Stonehenge”, a été découvert lors d’une fouille au sein de l’enceinte circulaire. Des flèches ont été trouvées près de lui, et les pointes de flèches trouvées dans les ossements ont probablement causé sa mort. Les “trous d’Aubrey”, un ensemble circulaire de cinquante-six grandes cavités disposées de façon régulière à l’intérieur et près du talus de l’enceinte circulaire, ont également été étudiés. Les cavités présentent des parois verticales et sont espacées de 5 mètres environ. Des fragments de charbon de bois et d’os humains carbonisés, ainsi que des épingles à cheveux et des longues baguettes de silex taillé épaisses comme un doigt ont été retrouvés dans un remplissage de craie. Trente-quatre d’entre eux ont été fouillés et sont indiqués par des plaques de calcaire.

Le site de Stonehenge est un monument mégalithique situé dans le comté du Wiltshire, au sud-ouest de l’Angleterre, érigé entre le Néolithique et l’âge du bronze. Il est constitué de plusieurs cercles concentriques et a été inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1986. Le site attire plus d’un million de visiteurs chaque année grâce à son aspect impressionnant et sa charge mystique.

L’étymologie du nom de Stonehenge est incertaine, mais certains suggèrent que cela pourrait signifier “les pierres suspendues” ou “le gibet”, en raison de la ressemblance des linteaux avec les potences.

Le site montre des marques d’occupation antérieure à la construction, avec la découverte de trois emplacements de poteaux mésolithiques et la construction d’un Cursus ovale vers -3500. La première construction du site remonte au Néolithique, avec une enceinte circulaire marquée par une levée de terre et un petit fossé, construits autour de -2800/-2100. Le fossé a été creusé avec des pioches en bois de cervidés et des pelles en omoplates de bovins, et le talus a été construit avec les matériaux extraits du fossé. Les “trous d’Aubrey”, un vaste ensemble circulaire de cinquante-six grandes cavités disposées de façon régulière à l’intérieur et près du talus de l’enceinte circulaire, ont été découverts en hommage à l’écrivain John Aubrey.

Des fouilles ont également révélé environ 55 tombes à incinération datant de la fin de la phase I, suggérant que le site avait été utilisé comme cimetière à crémation pendant environ 200 ans. Les personnes inhumées étaient probablement des dignitaires ou des chefs spirituels entourés de leur famille. La Heel Stone, un bloc de grès datant de l’époque Tertiaire, a été érigée à l’extérieur de l’entrée nord-est. Elle est brute et non sculptée et penche actuellement, bien qu’elle n’ait peut-être pas été placée dans sa position originelle.

William Hawley a découvert une complexe série de bases de poteaux en bois dans le centre de Stonehenge ainsi qu’aux deux entrées principales. Chaque base de poteau mesure 60 cm de diamètre et est irrégulièrement positionnée, ce qui suggère qu’elle aurait pu supporter des échafaudages ou un toit.

Les quatre Station Stones, situées à proximité des trous d’Aubrey, forment un rectangle orienté nord-ouest/sud-est perpendiculaire à l’axe principal. Deux de ces pierres se trouvaient à l’apex de tumulus, mais il n’y avait pas de tombes à l’intérieur. Des fossés similaires à ceux qui entourent la Heel Stone ont été creusés autour des Station Stones. L’astronome Peter Newham a identifié un alignement qui correspond aux équinoxes ainsi qu’à la position de la Lune au-dessus du rectangle formé par les quatre blocs de pierre.

Stonehenge II, datant du Chalcolithique (environ -2100/-2000), est caractérisé par l’existence de l’« Avenue », une structure composée de deux fossés parallèles et de talus adjacents, servant probablement à transporter des roches « bleues » depuis le fleuve Avon, pour les utiliser dans la construction du site. L’« Avenue » mesure 23 m de large, avec 12 m entre les talus, commence à la Heel Stone et se dirige vers le nord-est avant de se courber vers l’est, puis de rejoindre le fleuve Avon après un ultime virage sur la droite.

Six cavités, désignées Q et R, ont été ajoutées à cet ensemble, montrant que la structure était déjà orientée vers le soleil levant du solstice d’été avant la construction de la structure actuelle (phase III). Elles ont probablement servi à insérer plus de 80 menhirs de « pierres bleues » pour composer un premier cromlech, qui a maintenant disparu. L’hypothèse est que les deux cercles concentriques étaient constitués de 38 et 6 menhirs supplémentaires à l’entrée, soit un total de 82 mégalithes. La plupart de ces roches, qui sont de la dolérite, également connue sous le nom de pierre Stonehenge, ont été extraites des collines de Preseli, à plus de 250 km dans le pays de Galles. Ces roches ont pu être transportées par voie maritime ou fluviale, ou bien par halage terrestre, par la péninsule de Cornouailles ou la région de Bristol.

STONEHENGE III : ÂGE DU BRONZE, VERS -2000 / -1100

STONEHENGE III – A

Le mégalithisme a cessé en Europe à la fin du IIIe millénaire, mais Stonehenge a vu la création d’un complexe de 75 monolithes impressionnants après le démantèlement des groupes Q et R de pierres bleues. Les 75 monolithes sont composés de grès naturel de l’Oligocène-Miocène, extraits des carrières situées à environ 40 km du site, dans les Marlborough Downs à l’est d’Avebury. Les pierres ont été soigneusement sélectionnées et transportées sur plusieurs dizaines de kilomètres, pesant jusqu’à 50 tonnes chacune, pour être assemblées à Stonehenge. Pour le transport, il a été suggéré l’utilisation de systèmes de traîneaux, cordes et rouleaux de bois, avec la force des bras de milliers de personnes sur plusieurs décennies, pour surmonter les collines. Ces techniques ont été validées récemment par Wally Wallington, charpentier à la retraite, qui a montré qu’elles étaient réalisables avec des techniques simples et physiquement supportables pour les travailleurs de l’époque.

Les trilithes

Le texte décrit les trilithes, une structure mégalithique constituée de cinq portiques en forme de fer à cheval, chacun composé de trois monolithes de grès taillés et assemblés à l’aide de techniques de charpentage. Chaque paire de piliers est installée très près l’une de l’autre, et leur profil se rétrécit vers le haut en suivant une courbe prononcée, similaire à la technique de l’entasis des colonnes des temples grecs antiques. Les dix piliers présentent un tenon unique et chaque linteau, pesant jusqu’à 50 tonnes, comporte deux mortaises ovales. Les trilithes sont disposés de façon symétrique, culminant à une hauteur de 6 à 7,3 mètres. Les gravures sur le pilier 53 et sur les faces extérieures des éléments 3, 4 et 5 ressemblent à des armes de l’époque tardive du bronze.

Le grand cercle de sarsen

Cet ensemble mégalithique est constitué de trente monolithes de grès formant un cercle de 33 mètres de diamètre et surmonté de 30 linteaux. Les piliers ont été taillés avec deux tenons et mortaises ovales correspondants à chaque linteau, qui sont assemblés de manière précise bout à bout à l’aide d’entailles et de languettes taillées en pointe. Les orthostats sont espacés d’environ 1 m et ont une épaisseur moyenne de 1,10 m. Les linteaux présentent une légère courbe dans leur taille pour maintenir la disposition circulaire globale du site. Les piliers ont une face plus travaillée vers l’intérieur de l’ensemble. Les orthostats, d’une hauteur d’environ 4,10 m et d’un poids d’environ 25 tonnes, ont une largeur de 2,10 m, tandis que les linteaux, qui pèsent environ 7 tonnes chacun, ont une longueur d’environ 3,20 m, une largeur d’un mètre et une épaisseur de 80 cm. Les sommets des linteaux subsistants sont suspendus à 4,90 m au-dessus du sol. Les constructeurs ont eu le souci du rendu visuel final, les piliers étant larges en bas et s’évasant doucement en hauteur, tandis que les linteaux présentent une légère courbe dans leur taille. Un des orthostats, situé au sud-est, est plus petit que les autres. Les travaux auraient été achevés, comme l’ont révélé des traces d’herbe brûlée découvertes en 2013, qui concordaient avec les emplacements des mégalithes manquants.

La Slaughter Stone

La “Pierre du Sacrifice” est une appellation erronée donnée à une grande pièce de grès soigneusement taillée, qui mesure 7 m de long et qui était autrefois dressée, mais qui est aujourd’hui tombée et affleure légèrement près du talus. Cette pièce faisait partie des deux ou trois grands portails (le nombre exact est incertain) marquant l’entrée nord-est de Stonehenge. Contrairement à son nom, il n’y a aucune preuve de sacrifice humain ou animal associé à cette pierre. Cette croyance populaire persiste cependant dans l’esprit de certaines personnes, en partie à cause de la présence des restes de l’archer.

STONEHENGE III – B

Nouveau cercle de pierres bleues

Plus tard, au cours de l’âge du bronze, les blocs de dolérite ont été récupérés des cavités Q et R, puis réutilisés, peut-être à l’intérieur du groupe de grès, bien que les détails de cette période soient encore mal connus. Certains ont été façonnés de manière similaire à des constructions en bois, ce qui suggère l’existence d’une structure plus grande à cette époque, maintenue par des linteaux.

À l’extérieur de l’ensemble de grès, on peut observer deux cercles irréguliers composés de 30 grandes cavités chacun, correspondant aux 30 piliers de la structure. Ces excavations, découvertes et étudiées en partie par William Hawley en 1923, ont depuis été refermées et sont maintenant à peine visibles. Deux autres ont été minutieusement fouillées et analysées par Richard John Copland Atkinson en 1953. Les autres sont repérées mais non fouillées et sont parfaitement imperceptibles pour les visiteurs. Elles sont de forme rectangulaire avec des parois verticales et contiennent de la terre, des fragments de roche rhyolite et de grès, ainsi que des roches en silice brute. Leur contenu incomplet suggère qu’il s’agit probablement d’une réorganisation abandonnée des dolérites bleues à l’extérieur du groupe circulaire de grès.

Le “Altar Stone” est un bloc de grès vert micacé de 6 tonnes, mesurant 4,20 m sur 1 m sur 50 cm. Ce grès vert a très probablement été extrait d’un ou plusieurs des gisements présents au Pays de Galles. Bien que le nom Altar Stone suggère une utilisation comme autel, sa position horizontale et les éléments effondrés qui l’entourent ont semé le doute quant à son usage premier. Les visiteurs peuvent voir sa surface horizontale brillante, comportant de nombreuses traces d’usure dues aux piétinements de leurs prédécesseurs. Le reste du bloc est enterré aux trois quarts de sa taille, au milieu de la confusion du centre du site culturel.

STONEHENGE III – C

La période comprise entre -1550 et -1100 a été marquée par le démantèlement de la structure en pierres bleues précédente et la réérection de celles-ci en un cercle et un ovale concentriques qui peuvent encore être observés aujourd’hui. Cette période a également vu une réorganisation supplémentaire des éléments en dolérite (pierre Stonehenge), qui ont été disposés circulairement entre les deux structures de grès et en ovale, toutes deux concentriques, au milieu du site.

L’ensemble est aujourd’hui partiellement présent, avec six blocs debout, cinq inclinés, huit au sol en entier ou en fragments et dix autres ne représentant plus que des morceaux enterrés. Les formes sont diverses, avec des colonnes brutes ou travaillées à la main. Deux linteaux usagés ont également été intégrés, présentant des mortaises ovales similaires à celles des grands linteaux en grès. Ce groupe a probablement été constitué d’environ 60 éléments.

La structure finale érigée au milieu du site, à l’intérieur de l’ensemble en grès en forme de fer à cheval, est différente de la structure précédente. Les pierres sont disposées à intervalles réguliers, formant une structure ovale de 19 éléments, dont des trilithes. Six d’entre elles sont toujours debout, une autre est inclinée, et plusieurs autres sont en fragments. Toutes ont été travaillées avec minutie. Une pierre, présentant un tenon aplati à son sommet, a sans aucun doute fait partie d’un ensemble plus ancien, tandis que deux autres présentent des restes de procédé d’emboîtement des éléments pour un usage encore méconnu. La section nord-est de l’ovale des dolérites a été retirée à la fin, créant un agencement en fer à cheval reproduisant la forme de la structure centrale en blocs de grès. Après cette phase, il n’y a eu que de petites modifications apportées à cet ensemble.

Dernière étape

La quatrième et dernière phase, datée d’environ -1100, a permis de découvrir des os et des bois de cerfs dans les fossés à l’ouest d’Amesbury, témoignant de l’extension de l’avenue, ainsi que des restes d’un jeune garçon. Tous ces éléments ont été datés au moyen de la méthode du carbone 14. Une tranchée large en forme d’arc, orientée vers la Heel Stone et s’approfondissant vers l’est, le nord et l’est, date du Ve siècle.

Le site a été intentionnellement détruit au cours des premiers siècles après Jésus-Christ, comme en témoignent les pièces de monnaie romaines retrouvées ainsi que la tombe d’un homme saxon décapité au VIIe siècle.

ÉTUDES ET FOUILLES ARCHÉOLOGIQUES

Premières études

La première mention connue de Stonehenge dans l’histoire écrite provient de Diodore de Sicile, un historien grec qui a travaillé sur une vaste Bibliothèque historique en 40 volumes publiée en -30, dont seule une vingtaine a survécu jusqu’à nos jours. Il décrit une île située au nord de la Celtique, où se trouve une enceinte consacrée à Apollon, ornée de nombreuses offrandes et un magnifique temple de forme ronde. Même si cette description n’est pas claire, elle ne correspond à aucun autre ensemble de constructions connu. Au Moyen Âge, les géants ou le diable ont été considérés comme les auteurs de l’édifice, faute d’explications plus concrètes. Les érudits ont mesuré et dessiné Stonehenge avec rigueur scientifique, et le roi Charles Ier s’est rendu sur place avec l’architecte Inigo Jones pour une esquisse précise du monument restauré en 1621. En 1626, John Aubrey a rédigé le livre Templa Druidum et réalisé un plan très précis de Stonehenge.

Les premières mentions écrites de Stonehenge datent de l’Antiquité, avec Diodore de Sicile qui décrit une île de l’Océan au-delà de la Celtique, où se trouve une enceinte consacrée à Apollon et un temple rond. Pendant le Moyen Âge, le site est associé à des légendes de géants ou du diable, jusqu’à ce que des érudits le mesurent et le dessinent avec rigueur scientifique, notamment l’architecte Inigo Jones. William Stukeley, proche d’Isaac Newton, publie en 1740 Stonehenge, A Temple Restor’d to the British Druids, attribuant une fonction druidique au site, qui est encore retenue dans l’opinion populaire britannique. Malgré des mesures et observations minutieuses, les représentations du site semblent en décalage avec la réalité. L’effondrement de l’ensemble mégalithique 57-58 en 1797 entraîne de nouvelles études menées par des savants comme William Matthew Flinders Petrie, Norman Lockyer et Arthur Evans, qui effectuent des relevés précis et des observations astronomiques.

Fouilles et recherches du XXe siècle

Le site de Stonehenge a été étudié par plusieurs chercheurs depuis le XVIIe siècle. William Stukeley, qui était proche de l’astronome Isaac Newton, a publié en 1740 un ouvrage dans lequel il attribue une fonction druidique au site. Toutefois, l’interprétation du site comme ayant été utilisé par les druides est aujourd’hui remise en question. De nombreux savants ont visité et étudié le site au fil des ans, tels que William Matthew Flinders Petrie, Norman Lockyer et Arthur Evans. Les recherches ont également été menées par le professeur Gowland, le colonel William Hawley et le préhistorien Richard John Copland Atkinson, qui a effectué les premières datations au carbone 14. En 1957, ils ont remis en place et consolidé les éléments effondrés avec des techniques modernes du génie civil. En 1963, une dernière restauration a été effectuée après la chute du pilier 23 du groupe circulaire de grès. Des recherches sur l’acoustique du site ont été menées à partir de 1998 par l’archéologue Aaron Watson et l’acousticien David Keating, qui ont constaté que les pierres dressées modifient le comportement du son en leur centre. Rupert Till a également noté en 2009 que la dolérite avait des propriétés acoustiques spécifiques.

Fouilles et recherches du XXe siècle

Entre 2003 et 2008, une équipe dirigée par l’archéologue Mike Parker Pearson, appelée “Riverside Project”, a mené de nouvelles fouilles sur le site de Stonehenge. Le projet visait à établir des liens entre le site et d’autres constructions associées, comme l’enceinte néolithique Durrington Walls et sa propre Avenue, conduisant à la rivière Avon. En avril 2008, l’archéologue Timothy Darvill et Geoffrey Wainwright ont également entrepris une nouvelle fouille à l’intérieur circulaire du site pour récupérer des fragments autour des blocs de dolérite et les dater. Ces datations appuient l’idée que le monument est en usage depuis au moins 4000 ans avant l’existence du site. En 2010, la mission cartographique “Stonehenge New Landscapes Project” a révélé par hasard les reliquats d’un site cultuel à moins d’un kilomètre de l’ensemble circulaire principal, avec un fossé fractionné et des fosses internes mesurant jusqu’à un mètre de diamètre et pouvant avoir eu une charpente en bois. Ce monument semble être contemporain du site et avoir une orientation similaire.

Des géologues de l’Université de Leicester et du Musée national du Pays de Galles ont déclaré avoir identifié en décembre 2011 l’origine précise de certains fragments de roche rhyolite sur le site de Stonehenge. Ils ont ainsi pu déterminer que ces roches proviennent d’un affleurement rocheux nommé Craig Rhos-y-Felin, situé à 220 kilomètres de Stonehenge. En septembre 2015, une nouvelle découverte a été faite à proximité de Stonehenge, sur le site de l’enceinte Durrington Walls, révélant un site mégalithique enterré qui aurait pu contenir 200 blocs, datant de 4500 ans. Cependant, les fouilles menées en août 2016 ont révélé que ces blocs de pierre n’existaient pas, mais qu’il s’agissait plutôt d’énormes trous de poteaux disposés de façon circulaire, remplis de fragments de craie. Selon l’archéologue Dr Nicola Snashall, les constructeurs du site ont peut-être abandonné leur campement pour une raison inconnue, mais ils ont laissé les bois de construction derrière eux et ont mis en place les talus et les fossés que nous voyons aujourd’hui.

LE SITE DE STONEHENGE

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Pierre stonehenge - Son origine et sa composition

Le nom Stonehenge, tiré du mot grec « doleros » signifiant « trompeur », désigne la pierre la plus célèbre du monument mégalithique éponyme. Composée de dolérite, une roche de basalte lentement solidifiée et légèrement métamorphosée, elle est utilisée depuis l’aube de l’humanité pour fabriquer des haches, des pointes de flèches et des lames. Les vertus magiques et thérapeutiques de cette roche étaient également reconnues. Stonehenge lui-même a été érigé en plusieurs étapes sur plus d’un millénaire, avec des éléments de dolérite provenant des collines de Preseli, au Pays de Galles. Des rites remarquables ont été pratiqués sur le site, auxquels se sont rendus de nombreux Celtes. Des mystères subsistent quant aux événements qui s’y sont déroulés, mais des découvertes archéologiques ont révélé que le site était un lieu important de rassemblement pour les gens de la région et au-delà. Certaines roches de dolérite ont été taillées pour s’adapter à différents emplacements, et quelques-unes ont été emportées par des voyageurs comme talismans.

La dolérite de la pierre Stonehenge est une roche magmatique holocristalline, c’est-à-dire qu’elle est entièrement cristallisée et constituée uniquement de cristaux, de gabbro et de basalte, sans matrice vitreuse. Cette roche compacte est formée de grains visibles à la loupe et sa couleur est plutôt sombre, variant du vert au bleu ou gris en raison de son opacité. Les gisements de dolérite se trouvent dans plusieurs régions du monde, notamment en Angleterre, où la pierre Stonehenge provient, en Bretagne près de Plusselien dans les Côtes-d’Armor, aux États-Unis dans le New Jersey, au Canada et en Tasmanie en Australie.

L ORIGINE DES PIERRES DE STONEHENGE

Pierre stonehenge - Vertus et propriétés

The dolerite Stonehenge is made of serves as an anchor, providing a direct connection with the Earth’s core and the entire universe. It has the ability to balance and strengthen the immune system and can induce calmness or increased dynamism as needed. The Stonehenge stone offers natural support to the throat chakra, which can help with verbal communication and is reminiscent of its scientifically-proven acoustic properties. It is also known to be a powerful tool for unlocking the secrets of dreams, aiding in their recollection and interpretation. Additionally, the Stonehenge stone is ideal for spiritual purposes as it can facilitate astral travel.

STONEHENGE CERCLE DE PIERRES CERCLE DE LUMIERE

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D'où vient le nom stonehenge ?

Carte du monde

Le nom “Stonehenge” vient de la langue anglo-saxonne. Les mots “stan” signifiant pierre et “hencg” signifiant suspendu ou en cercle ont été combinés pour former le mot Stonehenge, qui se traduit littéralement par “pierres suspendues en cercle”. Le site de Stonehenge est situé dans la région de Salisbury, dans le sud de l’Angleterre, et est célèbre pour ses mégalithes en pierre qui ont été érigés il y a plus de 4000 ans.

 

Résumé de la pierre stonehenge

Stonehenge est un monument mégalithique situé en Angleterre, constitué de plusieurs cercles concentriques de pierres dressées, entouré d’un fossé et d’un talus. Sa construction remonte à la période néolithique, entre 3000 et 2000 avant notre ère.

L’origine et la signification exactes de Stonehenge restent inconnues, bien qu’il soit largement considéré comme un lieu de culte et de cérémonie. Des théories ont été avancées quant à son utilisation pour des célébrations solsticiales ou comme observatoire astronomique.

Le site a été restauré et préservé au fil des siècles, et est aujourd’hui une attraction touristique majeure, ainsi qu’un site du patrimoine mondial de l’UNESCO. Stonehenge continue d’inspirer la fascination et la curiosité, et reste un sujet de recherche et de débat pour les archéologues et les historiens du monde entier.

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⚠️Les bienfaits de la lithothérapie, ou thérapie par les pierres, ne peuvent remplacer un suivi médical professionnel si vous avez des doutes. Consultez toujours un médecin qui connaît vos antécédents médicaux afin d’obtenir le meilleur traitement pour vous.

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